Enseignement & Formation | Comprendre, Choisir, Réussir https://www.amasc-sacrecoeur.net Mon, 08 Dec 2025 10:38:17 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.9 https://www.amasc-sacrecoeur.net/wp-content/uploads/2025/11/cropped-icon-0-removebg-preview-32x32.png Enseignement & Formation | Comprendre, Choisir, Réussir https://www.amasc-sacrecoeur.net 32 32 Les meilleures plateformes pour apprendre à créer un site web en autonomie (testées et comparées) https://www.amasc-sacrecoeur.net/les-meilleures-plateformes-pour-apprendre-a-creer-un-site-web-en-autonomie-testees-et-comparees/ https://www.amasc-sacrecoeur.net/les-meilleures-plateformes-pour-apprendre-a-creer-un-site-web-en-autonomie-testees-et-comparees/#respond Mon, 08 Dec 2025 09:33:47 +0000 https://www.amasc-sacrecoeur.net/les-meilleures-plateformes-pour-apprendre-a-creer-un-site-web-en-autonomie-testees-et-comparees/ Créer son premier site web, c’est un peu comme monter une tente la première fois : on pense que ça va être simple… puis on se retrouve avec des piquets en trop. Si vous êtes étudiant, enseignant, en reconversion ou simplement curieux, vous vous êtes peut-être déjà demandé : “Par où je commence pour apprendre à créer un site ?”.
Franchement, aujourd’hui, avec les bonnes plateformes, on peut apprendre en autonomie, à son rythme – sans passer des nuits blanches à déchiffrer du code illisible.

Et si vous cherchez une ressource sérieuse pour aller plus loin, j’ai trouvé que https://formationcreationsite.fr était plutôt claire et pratique pour comprendre les bases sans jargon. Je l’ai découverte un soir, un peu par hasard, en préparant un atelier pour des lycéens… et ça m’a bien dépanné.

Pourquoi apprendre en autonomie est devenu si accessible

On vit un moment génial pour ça : les outils sont plus simples, les tutoriels plus visuels, et les plateformes ont enfin compris qu’on n’a pas tous envie de devenir développeur pro.
La plupart proposent des modules courts, des exercices concrets (pas juste “écris du code”, mais “construis une page d’accueil qui ressemble à quelque chose”), et même des simulateurs pour tester sans risque.
Perso, j’adore cette sensation d’avancer juste avec un ordinateur, un café, et zéro pression.

Les plateformes que j’ai testées… et ce que j’en pense vraiment

1. Codecademy – Idéal pour comprendre le “pourquoi ça marche comme ça”

Je me souviens encore de ma première page codée sur Codecademy, un soir d’hiver où je tapais maladroitement du HTML. La plateforme est ultra progressive : on clique, on teste, on recommence.
Ce que j’aime ?

  • Une approche pédagogique parfaite pour les débutants.
  • Des exercices courts qui donnent l’impression d’avancer vite.
  • Une vraie logique éducative (on comprend, on ne répète pas juste).

Ce qui pourrait gêner : la version gratuite finit vite par montrer ses limites. Mais pour apprendre les bases en autonomie, c’est solide.

2. OpenClassrooms – La plateforme la plus “éducative” dans l’âme

Si vous aimez les parcours structurés comme dans un vrai cours, OpenClassrooms est top.
J’ai suivi plusieurs modules, notamment ceux sur la création de site avec HTML/CSS. Et franchement, j’ai trouvé que les explications étaient limpides, parfois même plus claires que ce que j’ai vu en formation présentielle.

  • Des projets concrets (créer une page pour une fausse agence, par exemple).
  • Un ton humain, accessible.
  • Des vidéos courtes – merci !

Seul bémol : pour aller vers un vrai diplôme, les parcours payants peuvent coûter un peu cher. Mais pour apprendre en autonomie, leurs cours gratuits suffisent largement pour démarrer.

3. Udemy – Le grand bazar… mais plein de pépites

Udemy, c’est un énorme marché de cours. On y trouve le meilleur comme le moins bon, soyons honnêtes.
Une fois, j’ai suivi un cours où l’auteur faisait des blagues toutes les trois minutes… surprenant mais pas désagréable.

Ce que j’apprécie vraiment :

  • Des promos toutes les semaines (un cours à 12€, c’est tentant).
  • Des formations très pratiques, basées sur des projets.
  • Une diversité incroyable : WordPress, HTML, Webflow, tout y passe.

Astuce que je donne toujours : regardez les avis récents, pas juste la note générale. Ça évite les mauvaises surprises.

4. FreeCodeCamp – Pour ceux qui aiment apprendre en construisant… beaucoup

Si vous êtes du genre à aimer le challenge, vous allez adorer. FreeCodeCamp, c’est 100% gratuit et 100% orienté pratique.
Je me rappelle avoir passé une après-midi à essayer de réparer mon code pour valider un exercice… ça m’a presque rendu fou, mais quelle satisfaction quand la petite coche verte est apparue !

  • Des projets concrets dès les premiers modules.
  • Une communauté hyper active.
  • Une vraie progression vers des compétences professionnelles.

Attention : ce n’est pas la plateforme la plus “douce” pour débuter. Mais elle transforme vraiment votre manière de comprendre le web.

5. Wix & WordPress.com – Pour créer un site sans coder

Parce qu’on ne veut pas tous devenir développeurs, c’est clair. Certaines personnes veulent juste un site propre, fonctionnel, et rapide à mettre en ligne (enseignants, associations, projets étudiants…).
Et pour ça, Wix et WordPress.com font très bien le job.

J’ai remarqué que :

  • Wix est super intuitif, presque ludique.
  • WordPress.com est plus flexible et plus “pro” à long terme.

On apprend moins la technique, mais on apprend à structurer une page, à penser un site… ce qui est, au fond, une compétence essentielle dans l’éducation et la formation.

Alors, laquelle choisir ?

Ça dépend surtout de vous.
Vous êtes plutôt du genre à aimer comprendre comment tout fonctionne ? Allez sur Codecademy ou FreeCodeCamp.
Vous préférez un parcours un peu guidé, presque comme un cours en ligne ? OpenClassrooms sera parfait.
Vous voulez tester plein de styles de formation ? Udemy vous comblera.
Et si vous voulez juste créer un site propre sans coder : Wix ou WordPress.com feront le job sans prise de tête.

Conseils pour apprendre plus vite (vraiment)

  • Pratiquez un peu chaque jour : même 20 minutes, ça change tout.
  • Créez un vrai projet : un portfolio, un site d’association, peu importe.
  • Acceptez de vous tromper : le web, c’est de l’essai-erreur… parfois beaucoup d’erreurs.
  • Demandez de l’aide : forums, groupes, communautés Slack… on est rarement seul.

En résumé

Apprendre à créer un site web en autonomie n’a jamais été aussi accessible.
Que vous soyez étudiant, enseignant, en reconversion ou juste curieux, il existe une plateforme adaptée à votre style d’apprentissage.
Et, honnêtement, le sentiment de voir son premier site apparaître à l’écran… ça vaut largement les petites galères du début.

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Permis de conduire : quelles formations choisir quand on est étudiant ou jeune actif ? Comparatif complet https://www.amasc-sacrecoeur.net/permis-de-conduire-quelles-formations-choisir-quand-on-est-etudiant-ou-jeune-actif-comparatif-complet/ https://www.amasc-sacrecoeur.net/permis-de-conduire-quelles-formations-choisir-quand-on-est-etudiant-ou-jeune-actif-comparatif-complet/#respond Fri, 28 Nov 2025 18:19:29 +0000 https://www.amasc-sacrecoeur.net/permis-de-conduire-quelles-formations-choisir-quand-on-est-etudiant-ou-jeune-actif-comparatif-complet/ Dès qu’on commence les études supérieures ou qu’on met un pied dans la vie active, la question revient comme un boomerang : comment passer son permis sans exploser son budget ni son emploi du temps ?
Et je te comprends : jongler entre les cours, un job étudiant, les stages, les déménagements… ça peut vite devenir un casse-tête.

Avant de faire un choix, j’ai passé pas mal de temps à comparer les formules, à demander autour de moi, à fouiller des sites spécialisés comme https://formation-route.com pour essayer d’y voir plus clair.
Et tu sais quoi ? Selon ta situation, les options ne se valent pas du tout. Alors autant éviter le mauvais choix dès maintenant.

1. L’auto-école classique : la valeur sûre, mais pas toujours adaptée quand on court partout

Je vais te dire la vérité : l’auto-école traditionnelle, c’est rassurant. On y trouve un suivi personnalisé, un moniteur qu’on voit chaque semaine, un cadre.
Mais… si tu as un planning irrégulier (cours le matin, travail le soir, examens imprévisibles), ça peut vite coincer.

Avantages :

  • Suivi humain (et ça, quand on stresse au volant, ça compte).
  • Flexibilité relative si l’auto-école est grande.
  • Possibilité de payer en plusieurs fois.

Inconvénients :

  • Prix plus élevés (souvent entre 1 300 et 1 800 € selon les villes… à Paris, j’ai vu des devis à 2 300 €, j’ai failli tomber de ma chaise).
  • Créneaux qui se remplissent vite en période de partiels ou d’examens.

Bref, si tu aimes être accompagné et que tu peux t’organiser, c’est une bonne solution. Sinon, il y a plus souple.

2. Les auto-écoles en ligne : ultra flexibles, souvent moins chères

Ça, c’est la solution que beaucoup d’étudiants autour de moi ont choisie. Perso, je trouve que ça change la donne :
code en ligne, réservation des heures sur appli, prix plus digestes.
En pratique, les tarifs tournent plutôt autour de 900 à 1 200 €. Et pour le code, certains révisent entre deux cours, dans le métro, ou même à la BU (oui, je t’ai vu).

Avantages :

  • Flexibilité totale : tu bookes tes heures quand tu veux.
  • Tarifs beaucoup plus doux.
  • Appli, suivi statistique du code, progression visible… honnêtement, ça motive.

Inconvénients :

  • Le lien avec le moniteur est parfois moins stable (tu peux en avoir plusieurs selon les créneaux).
  • Nécessite d’être autonome et un minimum organisé.

Si tu es du genre “je gère mon agenda comme je veux”, c’est souvent le meilleur compromis.

3. L’apprentissage anticipé de la conduite (AAC) : le bon plan… si tu t’y prends tôt

La “conduite accompagnée”, c’est un peu le graal pour ceux qui veulent prendre confiance avant le permis.
Et honnêtement, ça marche : les stats montrent que les jeunes passés par l’AAC réussissent plus souvent du premier coup.

Mais soyons réalistes : c’est surtout utile si tu es lycéen ou jeune étudiant. Quand tu bosses ou que tu as quitté le domicile familial, trouver un accompagnateur dispo, c’est moins simple.

Avantages :

  • Meilleur taux de réussite aux examens.
  • Assurance souvent moins chère ensuite.
  • Beaucoup d’heures de conduite “gratuite” avec l’accompagnateur.

Inconvénients :

  • Faut être motorisé et… accompagné.
  • Demande du temps et de la régularité.

4. Le permis en accéléré : parfait si tu veux aller vite (mais pas si tu t’effraies vite)

Le permis en accéléré, ça m’a toujours fasciné : 10 à 15 jours pour tout boucler.
C’est intense, un peu comme une colonie de vacances version “ronds-points et créneaux”.
J’ai un pote qui l’a fait à Marseille pendant l’été : 6 heures de conduite par jour, bronzage intégral façon tableau de bord.

Avantages :

  • Rapide, vraiment rapide.
  • Idéal pendant les vacances, une dispo totale ou un break entre deux stages.

Inconvénients :

  • Prix plus élevés (souvent 1 800 – 2 500 €).
  • Intensité qui ne convient pas à tout le monde.
  • Nécessité d’être hyper concentré et reposé.

Si tu aimes les défis et que tu as une fenêtre de liberté, go. Sinon… respire, et regarde d’autres options.

5. Comment choisir LA formation qui colle à ton rythme et ton budget ?

Avant de te décider, pose-toi ces questions simples (mais vraiment utiles) :

  • Mon emploi du temps change-t-il souvent ?
  • Est-ce que j’ai un budget max à ne surtout pas dépasser ?
  • Est-ce que j’ai besoin d’un accompagnement humain constant ?
  • Est-ce que je veux aller vite ou prendre mon temps ?

Généralement, voilà ce que je recommande :

  • Budget serré + emploi du temps variable : clairement, une auto-école en ligne.
  • Stress au volant + besoin d’un moniteur dédié : auto-école classique.
  • Besoin de vitesse : permis accéléré.
  • Tu es encore au lycée : fonce sur la conduite accompagnée.

Conclusion : le meilleur permis, c’est celui qui te laisse souffler

Au final, il n’y a pas de “meilleure” formule universelle.
Il y a celle qui colle à ton quotidien, à ton budget, à ton stress, à ton organisation (même un peu bancale).
Et vraiment, je te le dis après avoir vu beaucoup de gens galérer : mieux vaut une formation adaptée qu’un choix “par défaut” qui traîne pendant des mois.

Si tu prends le temps de comparer, d’essayer quelques cours de code, de discuter avec des proches, tu trouveras la formule qui te correspond. Et le jour où tu sortiras du centre d’examen avec le fameux papier rose (enfin… la version numérique, maintenant), tu verras : ça valait le coup.

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Comment choisir une formation en programmation quand on débute ? Le guide clair pour ne pas se tromper https://www.amasc-sacrecoeur.net/comment-choisir-une-formation-en-programmation-quand-on-debute-le-guide-clair-pour-ne-pas-se-tromper/ https://www.amasc-sacrecoeur.net/comment-choisir-une-formation-en-programmation-quand-on-debute-le-guide-clair-pour-ne-pas-se-tromper/#respond Thu, 27 Nov 2025 14:36:21 +0000 https://www.amasc-sacrecoeur.net/comment-choisir-une-formation-en-programmation-quand-on-debute-le-guide-clair-pour-ne-pas-se-tromper/ On va être honnêtes : choisir une formation en programmation quand on part de zéro, c’est un peu comme entrer dans une librairie géante sans savoir quel livre ouvrir en premier. On voit des mots compliqués, des promesses partout, des durées différentes… et on se demande : “Je prends quoi, moi, là-dedans ?”

Et franchement, je comprends. J’ai moi-même passé une soirée entière, un café froid à la main, à comparer tout et n’importe quoi. C’est d’ailleurs ce soir-là que je suis tombé sur https://formation-programmation.com, un site qui recense pas mal de pistes et qui m’a aidé à y voir un peu plus clair. Bref, tu n’es pas seul dans le brouillard.

1. Commencer par la vraie question : pourquoi tu veux apprendre à programmer ?

Ça paraît bête, mais beaucoup zappent cette étape. Tu veux devenir développeur web ? Changer de métier ? Automatiser des tâches ? Apprendre “pour voir” ?

Parce que selon ton objectif, les formations ne seront pas du tout les mêmes :

  • Découvrir tranquillement : une formation courte, fun, parfois gratuite, suffit.
  • Changer de métier : vise une formation plus sérieuse, structurée, qui t’amène un vrai niveau employable.
  • Gagner en compétences dans ton job : peut-être juste un module ciblé (Python pour l’analyse de données, par exemple).

Pose-toi ça maintenant. Ça t’évitera de t’éparpiller.

2. Formation en ligne, en présentiel ou bootcamp : qu’est-ce qui te correspond vraiment ?

Je te jure, il n’y a pas de bonne ou mauvaise réponse, juste celle qui colle à ta vie.

En ligne : super flexible, souvent moins cher. Idéal si tu bosses déjà ou que tu cours partout.

En présentiel : tu progresses avec un groupe, tu poses des questions direct. Parfait si tu as besoin d’un cadre.

Bootcamp intensif : là, c’est mode “immersion totale”. 8 semaines, 12 semaines, parfois plus. Très efficace mais ça secoue.

Demande-toi : tu apprends mieux seul, ou avec quelqu’un pour te booster ? Tu peux te libérer du temps ou pas vraiment ?

3. Regarder le contenu du programme (et repérer les formations fumeuses)

Là, il faut mettre un peu les mains dans le cambouis. Une bonne formation débutant doit couvrir des bases claires :

  • les fondamentaux (variables, boucles, conditions…)
  • un langage d’entrée simple (Python ou JavaScript, souvent)
  • un projet concret
  • un accompagnement réel (pas juste 200 vidéos sans suivi)

Si tu vois une formation qui promet “Devenir développeur en 10 jours” : fuis. Vraiment. C’est comme promettre d’apprendre à piloter un avion en regardant trois tutos sur YouTube.

4. C’est bête, mais vérifie les avis

Pas les avis mis en avant sur la page d’accueil. Les vrais. Les notes Google, Trustpilot ou même Reddit, si tu comprends l’anglais. Tu verras vite les signaux : encadrement absent, plateforme qui bug, promesses d’embauche irréalistes… ou au contraire, accompagnement solide, formateurs dispo, exercices pertinents.

Et si tu hésites, envoie un message à un ancien élève sur LinkedIn. Surpris ? Les gens répondent souvent !

5. Le prix : comment savoir si c’est “cher” ou “normal” ?

En programmation, les tarifs varient du simple au triple. Quelques repères pour ne pas se faire avoir :

  • Petites formations en ligne : 0 à 200 €
  • Parcours complet débutant : 400 à 1 500 €
  • Bootcamps intensifs : souvent entre 4 000 et 7 000 €

Attention : cher ne veut pas dire bon. Et pas cher ne veut pas dire nul. Regarde le programme, l’encadrement et le suivi. Toujours.

6. Les erreurs que tout débutant fait (et qui font perdre du temps)

Je te fais gagner quelques semaines :

  • Se lancer dans un langage trop dur au début (C++, je te regarde).
  • Changer de formation toutes les deux semaines.
  • Passer 10 heures à choisir la formation et 0 heure à pratiquer.
  • Tomber dans l’illusion qu’il faut tout comprendre avant d’essayer (non, essaye d’abord !).

C’est normal de galérer. Tout le monde galère. La différence, c’est de ne pas bloquer seul.

7. Alors… comment décider concrètement ?

Quelques critères simples à cocher :

  • Tu comprends au moins 70 % du programme (sinon c’est trop avancé).
  • La formation propose du suivi humain.
  • Tu vois clairement ce que tu sauras faire après.
  • Tu peux tenir la charge (temps, budget, motivation).

Si tout ça te semble OK : fonce. Sinon, garde la page de côté et continue de fouiller un peu.

Conclusion : tu peux apprendre à programmer, même en partant de zéro

Je te le dis franchement : tout le monde peut apprendre. La vraie difficulté, ce n’est pas la programmation en elle-même. C’est de trouver la bonne formation, celle qui te parle, qui t’accompagne et qui t’aide à progresser sans te noyer.

Prends le temps de poser tes objectifs, compare deux ou trois programmes, regarde les retours d’autres apprenants… et lance-toi. La première ligne de code fait toujours un peu peur, mais après ça, ça roule.

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Formation à distance : comment rester motivé et réussir jusqu’au bout https://www.amasc-sacrecoeur.net/formation-a-distance-comment-rester-motive-et-reussir-jusquau-bout/ https://www.amasc-sacrecoeur.net/formation-a-distance-comment-rester-motive-et-reussir-jusquau-bout/#respond Wed, 12 Nov 2025 14:58:46 +0000 https://www.amasc-sacrecoeur.net/?p=8 Travailler depuis chez soi, sans salle de classe, sans prof juste à côté… ça fait rêver au début. Pas de trajet, pas de contraintes horaires, et la liberté de bosser en jogging. Sauf que, très vite, la réalité rattrape tout le monde. La motivation baisse, la procrastination s’installe, et la fameuse phrase “je le ferai demain” devient ton pire ennemi. Alors, comment tenir sur la durée quand on suit une formation à distance ? Voici des conseils concrets, testés, réalistes, pour aller jusqu’au bout sans craquer.

1. Crée-toi un vrai cadre (sinon c’est la dérive assurée)

Franchement, c’est LE point de départ. Quand on apprend à la maison, la frontière entre travail et détente devient floue. Ton canapé, c’est ton bureau. Ton bureau, c’est ta table de cuisine. Résultat : tu bosses n’importe quand, n’importe comment, et tu n’avances pas vraiment.

Installe-toi un espace dédié, même minuscule. Une table avec une chaise correcte, une lumière naturelle si possible, et surtout : pas de distractions. Pas la télé en fond, pas les notifs du téléphone. Mets-toi en mode “cours”. Certains mettent même des écouteurs avec du bruit blanc ou de la musique douce — perso, ça m’aide à me concentrer.

2. Fixe des horaires… et respecte-les (autant que possible)

Oui, c’est un cliché, mais c’est vital. La liberté totale, c’est bien, mais sans structure, on se perd. Fixe-toi des créneaux : par exemple 9h-12h, 14h-17h, cinq jours par semaine. Et tiens-toi-y comme si tu allais en cours “en vrai”.

Essaie de ritualiser : un café avant de t’y mettre, une playlist “début de journée”, ou même un petit trajet symbolique (genre faire le tour du pâté de maisons avant de commencer). Ça paraît bête, mais ça met ton cerveau en condition de travail.

3. Découpe tes objectifs pour éviter la montagne

Une erreur classique : vouloir “tout faire d’un coup”. Tu te dis “allez, je révise tout le module ce week-end”, et dimanche soir, tu n’as fait qu’une page. Résultat : frustration, culpabilité, perte de motivation.

Le secret, c’est de fractionner tes objectifs. Un chapitre par jour. Une vidéo par matinée. Un quiz par soir. Et surtout, coche-les quand c’est fait. Voir la progression visuellement (sur un tableau, une appli, peu importe) motive énormément. C’est comme un jeu vidéo où tu gagnes des points à chaque étape.

4. Reste en contact avec d’autres apprenants

L’isolement, c’est le pire ennemi du e-learning. Quand tu bosses seul pendant des semaines, sans interaction, la motivation s’éteint doucement. Cherche à échanger : forums, groupes WhatsApp, Discord, peu importe. L’idée, c’est de partager tes galères et tes réussites.

Dans certaines formations, les plateformes offrent déjà des espaces collaboratifs. Utilise-les ! Tu verras que tout le monde rame un peu à un moment ou un autre. Et puis, c’est plus fun d’apprendre à plusieurs. Parfois, une simple discussion peut débloquer une difficulté que tu traînais depuis des jours.

5. Garde une vision claire de ton “pourquoi”

Tu sais pourquoi tu t’es inscrit à cette formation ? Si la réponse devient floue, la motivation suit la même pente. Note noir sur blanc ton objectif. Pas juste “obtenir le diplôme”, mais le vrai pourquoi derrière : “changer de métier”, “trouver un poste stable”, “acquérir une compétence utile”.

Et relis-le quand ça devient dur. Parce que ça le deviendra, forcément. Mais garder en tête la finalité, c’est ce qui fait tenir quand le moral est bas. C’est un peu ton GPS mental.

6. Accepte que ce ne soit pas parfait (et avance quand même)

On veut souvent faire “bien”, suivre le rythme idéal, tout comprendre avant de passer à la suite. Mauvaise idée. Le perfectionnisme est l’ennemi du progrès. Accepte de ne pas tout maîtriser tout de suite. Certaines journées seront productives, d’autres non, et c’est normal.

Perso, j’ai appris à ne pas culpabiliser quand je décroche une journée. Le plus important, c’est de revenir. Même un petit pas vaut mieux que rien. Le secret, c’est la régularité, pas la perfection.

7. Fais des pauses (mais les vraies)

Travailler à distance, c’est aussi savoir s’arrêter. Sans les signaux du monde extérieur (la sonnerie, la pause café, les collègues), on oublie souvent de lever la tête. Fais des pauses régulières : 10 minutes toutes les heures, et une vraie coupure à midi.

Et pendant ces pauses, fais autre chose : étire-toi, sors, respire, appelle quelqu’un. Pas de défilement infini sur ton téléphone, sinon tu perds la moitié de ton énergie avant même de t’y remettre.

8. Célèbre chaque étape franchie

On sous-estime trop le pouvoir de la reconnaissance personnelle. Fête les petites victoires : finir un module, valider un test, tenir un planning pendant une semaine. Ça paraît symbolique, mais c’est ce qui entretient la motivation sur le long terme. Tu veux une astuce ? Planifie une petite récompense à chaque étape : un resto, un film, un jour off. Tu verras, ton cerveau adore ça.

En résumé

Rester motivé dans une formation à distance, ce n’est pas une question de volonté pure. C’est une question d’organisation, de routine et surtout, de sens. On apprend mieux quand on sait pourquoi on le fait, quand on s’entoure un minimum, et quand on accepte que le parcours ait ses hauts et ses bas.

Alors, garde ton cap, avance à ton rythme, et rappelle-toi : ce n’est pas une course, c’est un projet. Et c’est toi le pilote.

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